Cher(e)s ami(e)s,
Les Citoyens du Vote Blanc sont heureux de vous annoncer la naissance du livre « Qui a peur du vote blanc ? ».
Ce livre n’est pas uniquement un réquisitoire à charge contre un système défaillant. Il est avant tout un vibrant plaidoyer en faveur d’une citoyenneté active qui s’engage, s’indigne, propose, invente, agit et assume sa responsabilité en tant qu’acteur de la vie politique. Il retrace notamment le parcours initiatique d’un groupe de citoyens ordinaires qui, à travers l’aventure du Parti du Vote Blanc, se sont lancés à l’assaut de la forteresse électorale. Il revient sur les dernières campagnes de 2017, en particulier celle de la présidentielle au cours de laquelle la candidature de Stéphane Guyot avait été estimée à 10% d’intentions de vote par l’institut de sondage Ifop. Aucun média n’a parlé de ce sondage ; le livre explique pourquoi.
Il propose également 10 mesures chocs destinées à restaurer le lien de confiance aujourd’hui rompu entre l’électeur et ses représentants. Ces propositions, concrètes et immédiates, touchent à l’organisation même de notre mode de gouvernance. Elles ont vocation à libérer l’initiative politique du carcan étriqué des partis et replacer le citoyen comme pierre de voûte de l’édifice institutionnel.
La publication de « Qui a peur du vote blanc ? » intervient en pleine crise de la représentativité. Alors que les Gilets Jaunes se dressent contre les conséquences de décisions prisent par une élite déconnectée, le livre apporte un éclairage sur leurs origines. Il dénonce les dérives du carriérisme politique comme « la cause des causes » de notre impuissance collective et présente le vote blanc comme un outil de contestation démocratique. Il ouvre ainsi la perspective d’une révolution populaire, pacifique, par les urnes.
Les élections Européennes du 26 mai 2019 offrent par ailleurs un décor idéal pour la publication d’un ouvrage traitant de coulisses électorales et de cuisines politiciennes. Une sorte de « pavé dans la marre » inspiré d’événements vécus et tombant à pic dans une campagne extrêmement médiatisée.
« Qui a peur du vote blanc ? » porte un regard critique et lucide sur nos pratiques politiques. Il s’inscrit dans la continuité du célèbre discours « Le Pays des Souris » prononcé en 1944 par le sénateur nord Américain Tommy Douglas et se fixe pour objectif de répondre en 300 pages à cette question capitale : Sommes-nous gouvernés par des Chats ?
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